Le test de paternité est requis pour lever le doute sur la filiation paternelle d’un individu. On peut procéder au test de paternité à plusieurs périodes de la vie d’un individu.

Test de paternité prénatal

Pour confirmer ou contester la filiation paternelle, on ne pouvait procéder au test de paternité qu’une fois que l’enfant est né. Aujourd’hui, il n’est plus nécessaire d’attendre ce délai grâce au test de paternité prénatal. Le test de paternité peut être effectué par amniocentèse, mais le prélèvement est invasif pour le fœtus et la mère. Il est désormais possible de l’éviter en procédant à un simple prélèvement sanguin de la mère. Pendant la grossesse, on retrouve des cellules fœtales dans le sang de la mère. Selon le laboratoire choisi, on peut procéder au test ADN prénatal dès la huitième semaine d’aménorrhée.

Test de paternité postnatal

Le test de paternité postnatal peut être demandé par un enfant ou son représentant légal jusqu’à ses 28 ans. Pour cela, la demande doit aussi passer par le tribunal de grande instance. Le test de paternité peut se faire par comparaison sanguine, mais la comparaison des empreintes ADN est la plus fiable. Le présumé père peut refuser de se soumettre à un test de paternité, cependant un refus sera considéré comme une preuve de paternité par un juge. Un laboratoire étranger comme https://www.vaterschaftstest-dna.com/ peut aussi être sollicité pour un test de paternité afin de préparer une action en justice pour des résultats légaux.

Post de paternité post-mortem

Il est aussi possible de procéder à test de paternité auprès d’une personne déjà décédée. L’échantillon sera prélevé sur le corps du défunt après exhumation. C’est pour cela que l’autorisation judiciaire de faire un test de paternité sur un défunt ne peut être obtenue sans preuve suffisante. Souvent, le recours à un test de paternité post-mortem est demandé quand il est question de succession.

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